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Novembre 2020, découvrez notre sélection !

Pour vous, on a découvert :


Les Reines de Sang – Njinga, Reine d’Angola | Delcourt


Le scénariste Jean-Pierre Pécau fait ses premiers pas dans la bande dessinée avec « Zentak » après avoir tout d’abord enseigné puis travaillé pour la société du fameux jeu de rôle, Donjons et Dragons. Suivent « Little Blade » , « Nash » et son best-seller : « L’Histoire secrète » . En 2019, il lance une nouvelle série avec Fred Duval et Colin Wilson au dessin : « Nevada ». Une fois n’est pas coutume, c’est une femme qui est l’illustratrice de cette fameuse « Reine de sang ». Alessia De Vincenzi est italienne, elle n’a commencé à participer à la création d’album français que récemment avec, en 2014, le premier album de la série « Les reines de sang » nommé « Frédégonde, la sanguinaire ». Ensemble, les deux artistes font revivre sous nos yeux l’histoire de la reine Njinga, véritable symbole national de l’Angola, sans n’y apporter guère de fiction, ni personnage inventé.


Ellis Island- Bienvenue en Amérique ! | Grand Angle


Philippe Charlot vient du monde de la musique qu'il parcourt professionnellement au travers de multiples expériences. Après sa participation à quelques albums collectifs (« Game Over » , « Mad Fabrik »,…), il rejoint Grand Angle avec « Bourbon Street », son premier projet au long cours dans lequel il réunit ses deux passions : musique et écriture. A ses côtés pour réaliser « Ellis Island », on retrouve l’illustrateur Miras. Né au sud de la Pologne en 1965, il commence à s’intéresser très jeune au 9e art. Véritable toucheà-tout artistique, il multiplie les expériences diverses, de directeur artistique à illustrateur jeunesse. Il signe finalement sa première bande dessinée avec l’album « Un western dans la poche » . A noter que Philippe et Miras avait déjà collaboré chez Glénat sur l’album « Harmonijka ». Les deux compères ont confectionné un premier opus très prometteur. Avec une intrigue bien amenée et étoffée, ils nous emmènent aux côtés de deux jeunes italiens venus vivre le rêve américain mais qui vont vite déchanter…


Sa majesté des Ours – Les colonnes de Garuda | Glénat


C’est un duo qui a scénarisé cet album. Le premier, Olivier Vatine, illustrateur dans la publicité, débute sa carrière dans la bande dessinée en 1984 avec « Les Aventures de Fred et Bob » et connaît le succès en 1988 avec « Aquablue » (l’une des plus grandes séries françaises contemporaines). Le second, Dobbs, sociologue de formation, se lance dans la BD dans « Le Journal de Mickey ». Il est notamment reconnu pour avoir adapté de nombreux grands romans en bande dessinée (« la ferme des animaux » ou encore « la bête humaine »). Mais c’est bien un trio qui est commande de cet ours tout puissant, puisque c’est Didier Cassegrain qui s’est chargé des illustrations. C'est d’ailleurs justement sa rencontre avec Olivier Vatine qui le pousse à faire de la bande dessinée. De cette rencontre naît notamment l’album « Tao Bang ». Didier Cassegrain signe un retour en force avec « Sa majesté des ours », avec un graphisme magnifique, et des personnages aux têtes d'animaux plus vrais que nature. Tout trois nous font voyager aux côtés d’un jeune garçon qui se réveille un jour au royaume des ours…

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